Lundi 23 novembre 2015
14h00h–15h30 Présidence: Jacques Verger (Académie française, AIBL)
Michele Ferrari (université d’Erlangen): Le moine et les mots. Jouer au Haut Moyen Age
Vanina Kopp (IHA, Paris), Les recueils de demandes d’amour. Manuels éducatif de savoir-vivre au bas Moyen Âge ?
Sophie Caflisch (université de Zurich), Latine inter ludendum loquentur : Language Immersion through Mouvement Games in Late Medieval Europe
16h00h–18h00 Présidence de session : Didier Lett (université Paris 7)
Benoît Grévin (CNRS-LAMOP, Paris), La rhétorique est-elle un jeu ? Aspects ludiques et agonistiques de l’entraînement à la composition latine aux XIIIe et XIVe siècles
Francesca Aceto (EHESS/GAHOM, Paris), « Problèmes pour aiguiser l’esprit des jeunes ». Quelques observations sur le jeu en tant que technique intellectuelle dans le milieu italien du XVe siècle
Ilaria Taddei (université Pierre Mendès France, Grenoble), Jouer dans la cité des humanistes. Les confréries de jeunesse à Florence au XVe siècle
Mardi, 24 novembre
9h00–10h30 Présidence: Laura Kendrick (université Versailles St. Quentin)
Iolanda Ventura (CNRS-IRHT, Orléans), Curiosité, plaisir et enseignement dans les encyclopédies entre Moyen Âge et Renaissance
Noelle-Letitia Perret (université de Fribourg), Quid est iocunditas ? La place accordée au jeu dans l’éducation du prince d’après Gilles de Rome et son traducteur Guillaume (XIIIe-XIVe s.)
11h00–13h00 Présidence : Ardis Butterfield (université de Yale)
Alessandra Rizzi (université Ca’ Foscari, Venise), Educare col gioco/rieducare al gioco: predicatori e uomini di Chiesa fra medioevo ed età moderna
Marianne Polo de Beaulieu/Jacques Berlioz (EHESS/CNRS, Paris), Les prédicateurs connaissaient-ils la notion de jeux éducatifs ? Enquête dans quelques collections exemplaires (XIIIe-XVe s.)
Darwin Smith (université Paris 1/CNRS), Hypothèse sur le développement du théâtre vernaculaire dans l’université de Paris aux XIVe et XVe siècles.
14.00–16.00: Table ronde présidée par Élisabeth Belmas (université Paris 13)
Thierry Wendling (CNRS/EHESS, Paris ) et Roberte Hamayon (EPHE, Paris)